HIV/Aids is up to five times more prevalent in American prisons than in the general population. Adherence to treatment programs can be strictly monitored in prison. However, once prisoners are released, medical monitoring becomes problematic. A new study by Dr. Nitika Pant Pai – an Assistant professor of Medicine and a medical scientist at the Research Institute of the MUHC – suggests the majority (76%) of inmates take their antiretroviral treatment (ART) intermittently once they leave prison, representing a higher risk to the general population.


Press release

Le VIH/SIDA est jusqu’à cinq fois plus répandu dans le milieu carcéral américain qu’il ne l’est dans le reste de la population. L’adhésion au programme de traitement peut faire l’objet d’une stricte surveillance, en milieu carcéral. Cependant, une fois les prisonniers libérés, le suivi médical devient problématique. Une nouvelle étude menée par la Dre Nitika Pant Pai, professeure adjointe en médecine et chercheuse à l’Institut de recherche du CUSM, prouve qu’une grande majorité (76 %) des détenus prennent leur traitement antirétroviral (TAR) par intermittence lors de leur sortie, représentant un risque plus élevé pour la population.

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