Leishmania is a deadly parasitic disease that affects over 12 million people worldwide, with more than 2 million new cases reported every year. Until recently, scientists were unsure exactly how the parasite survives inside human cells. That mystery has now been solved according to a new study published in Science Signaling by a team led by Dr. Martin Olivier – a scientist at the Research Institute of the McGill University Health Centre (RI-MUHC) and McGill University. It is hoped the new study will lead to the development of the first prophylactic treatment for leishmania.
Leishmania is typically a sub-tropical and tropical infectious disease transmitted through the bite of female phlebotomine sandflies. The parasites enter the bloodstream and are ingested by macrophage – white blood cells – where they block immune function and multiply, spreading to other tissues in the body. Leishmania can occur in cutaneous forms, which are generally curable, as well as in a more dangerous – and potentially fatal – visceral form.
La leishmaniose est une maladie parasitaire mortelle qui touche plus de 12 millions de personnes à travers le monde, avec plus de 2 millions de nouveaux cas par an. Jusqu’à présent, les scientifiques n’avaient pas clairement percé le mécanisme de survie du parasite à l’intérieur des cellules humaines. Le mystère est maintenant résolu selon la nouvelle étude publiée dans Science Signaling par l’équipe du Dr Martin Olivier – un scientifique à l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM) et l’Université McGill. Cette nouvelle étude est pleine d’espoir quant au développement du premier traitement prophylactique de la leishmaniose.
La Leishmaniose est une maladie infectieuse subtropicale/tropicale qui est transmise par la piqûre des mouches de sable femelles, appelées phlébotomes. Lors de la piqûre, les parasites sont injectés dans le sang et ingérés par les macrophages – des globules blancs – à l’intérieur desquels ils bloquent la fonction immunitaire et se multiplient jusqu’à atteindre d’autres tissus du corps. L’infection peut se manifester sous forme cutanée, généralement guérissable, ou bien sous forme viscérale, plus dangereuse et potentiellement mortelle.