Research demonstrates a clear link between physical activity and increased cancer survival rates, but just getting to the gym presents a challenge for many people. For women battling breast cancer, the side effects of their treatments are just one of many barriers to being physically active. The Cedars Breast Clinic of the McGill University Health Centre (MUHC) is partnering up with Curves, the world’s leader in women’s fitness, to tackle this problem head on. From September, every inactive woman diagnosed and treated for breast cancer at the MUHC will be offered a free membership to Curves.

“Many women being treated for breast cancer are not ready to get back into physical activity or they haven’t done it before,” explains Dr. Sarkis Meterissian, Director of the Cedars Breast Centre of the MUHC. “They are often dealing with changes in body image, depression and are struggling to come to terms with their diagnosis. On top of that, they have the physical effects of chemotherapy.

Full Press Release

La recherche démontre l’existence d’un lien manifeste entre l’activité physique et un taux de survie accru au cancer, mais le simple fait de se rendre au centre sportif relève, pour plusieurs d’entre nous, du défi. Les effets secondaires des traitements que doivent subir les femmes qui luttent contre le cancer du sein constituent l’un des nombreux obstacles qu’elles doivent surmonter pour demeurer actives, sur le plan physique. La Clinique du sein de l’Institut des Cèdres du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) a conclu un partenariat avec la société Curves, chef de file mondial dans le domaine de la condition physique des femmes, pour lutter contre ce problème. À compter de septembre, toutes les femmes inactives auxquelles on aura posé un diagnostic de cancer du sein et qui seront traitées, pour celui-ci, au CUSM, deviendront gratuitement membres de Curves.

D’expliquer le Dr Sarkis Meterissian, directeur de la Clinique du sein de l’Institut des Cèdres du CUSM : « Plusieurs femmes qui suivent des traitements en rapport avec leur cancer du sein ne sont pas prêtes à recommencer à faire de l’activité physique ou ne l’ont jamais fait auparavant. Elles sont fréquemment confrontées à des changements sur le plan de leur image corporelle, à la dépression et elles ont de la difficulté à accepter leur diagnostic. En outre, elles sont confrontées aux conséquences physiques de la chimiothérapie. »

Communiquer de presse