Une équipe de chercheurs du Département de chimie de l’Université McGill dirigée par la professeure Hanadi Sleiman a enregistré une percée importante dans le développement de nanotubes, de minuscules projectiles magiques qui pourront un jour libérer des médicaments ciblant des cellules malades spécifiquement définies.

La professeure Sleiman explique que pour mener à bien l’étude, les chercheurs doivent retirer l’ADN de son contexte biologique. Ainsi, plutôt que d’être utilisé à titre de code génétique vivant, il devient en quelque sorte une unité de structure dans la conception de minuscules objets créés à l’échelle nanométrique.

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