In a study published in the Journal Nature Neuroscience, researchers report that people who were abused or neglected as children showed genetic alterations that likely made them more biologically sensitive to stress. The findings help clarify the biology behind the wounds of a difficult childhood and hint at what constitutes resilience in those able to shake off such wounds. The McGill researchers were postdoctoral fellow Patrick McGowan, Michael Meaney, Aya Sasaki, Ana C. D’Alessio, Sergiy Dymov, Benoît Labonté and Moshe Szyf, all of McGill, and Dr. Gustavo Turecki, a McGill researcher who leads the Brain Bank.

The New York Times

Selon les auteurs d’une étude publiée dans la revue Nature Neuroscience, les adultes qui ont été victimes de violence ou de négligence dans leur enfance présentent des modifications génétiques qui les ont vraisemblablement rendus biologiquement plus sensibles au stress. Ces conclusions contribuent à élucider le fondement biologique des blessures subies durant une enfance difficile et laissent entrevoir à quoi tient la résilience de ceux qui parviennent à s’en libérer. Ont participé à ces recherches les stagiaires postdoctoraux Patrick McGowan, Michael Meaney, Aya Sasaki, Ana C. D’Alessio, Sergiy Dymov, Benoît Labonté et Moshe Szyf, tous de McGill, ainsi qu’un chercheur également de McGill, le Dr Gustavo Turecki, qui est aussi directeur de la Banque de cerveaux.

The New York Times